Microlife présente le premier thermomètre antimicrobien au monde doté d'un revêtement en alliage de cuivre. Grâce à ses technologies brevetées, Microlife a pour objectif de créer des thermomètres sûrs, non seulement pour les familles, mais également pour toute la chaîne de soins (docteurs, infirmières, patients). 

Le cuivre antimicrobien utilisé au niveau de l'embout et du couvercle du compartiment pile(s) du thermomètre est capable de tuer un large spectre de microbes pathogènes, réduisant ainsi drastiquement la flore microbienne présente au niveau des éléments revêtus et faisant baisser de manière significative le nombre de microbes pathogènes présents ailleurs sur le corps du thermomètre. L'action antimicrobienne continue participe à l'affaiblissement de la propagation des microbes pathogènes, ce qui garantit ainsi à l'utilisateur un niveau de sécurité et de protection élevé.

§ N° de brevet national grec : 1007847 (201101007847)/31.10.2011 ;
§ N° de demande de brevet international : WO/2013/064847 ;
§ N° de demande de brevet européen : 12798356.7/17.10.2012.

Le cuivre est un élément chimique que l'on retrouve dans la nature, qui est entièrement recyclable et qui s'harmonise de manière esthétique à l'environnement. Des études scientifiques ont conclu que les microbes peuvent rester en vie et continuer d'être infectieux sur plusieurs surfaces pendant des heures, des jours et, même, des mois. Des études cliniques et de laboratoire exhaustives du monde entier ont démontré qu'un grand nombre de bactéries, virus et champignons ne peut pas survivre sur des surfaces en cuivre antimicrobien.

En effet, le cuivre tue une grande majorité de microbes grâce, notamment, à l'exposition des microbres aux ions cuivre. Les ions cuivre agissent de trois manières pour tuer les microbes :

1. Ils détruisent la pompe Na-K située au niveau de la membrane cellulaire des microbes.
2. En réagissant avec l'O₂, le cuivre produit des radicaux libres dérivés de l'oxygène toxiques et provoque un stress oxydatif chez la bactérie. 
3. Il détruit le matériel génétique de la bactérie et des virus (ARN et ADN).